Voici quelque chose que je viens tout juste d'écrire...Je le partage avec vous.

J'ai connu des gens divers et variés,
J'ai observé leurs visages et j'ai put m'adapter à toutes leurs vies,
Les regards sont parfois durs mais on s'y fait aussi.
Et lorsqu'une larme glissait sur ma joue, beaucoup se demandaient quel masque ils devaient rassurer.
Beaucoup de masques sont tombés depuis cette époque où je me cherchais,
Et maintenant je cherche encore un autre mensonge pour cacher mon visage fissuré,
fissuré par la honte, la tristesse et la solitude.
Combien de fois ai-je rêvé d'être une autre personne?
Combien de fois ai-je rêvé de vivre un rêve?
Si la vie est un enfer je veux le fuir,
Si le rêve est un paradis je veux y fuir.

Mais rien de tout ce que je souhaite ne se réalise.
Je voulais être aimée et au final j'aime un mensonge.
Combien de fois j'ai esquivé des coups et combien de fois je m'en suis prit,
calculer le nombre est impossible mais le vivre est une toute autre histoire.
Je manque de moyens et de joie,
La tristesse se noie dans des verres sans fond,
Qui eux disparaissent au fond de ma tristesse.

Quand la solitude vient, elle nous agrippe et reste à nos côtés,
Quand on croit l'avoir fuit, elle refait surface comme un mauvais souvenir.
J'aimerais tellement avoir l'impression d'être heureuse,
Croire, faire semblant de vivre, tellement de choses qui se cachent derrière ce visage joyeux.

Un jour on m'a dit: Ferme les yeux et imagine que tout va bien.
Maintenant quand j'ouvre les yeux je crois que c'est le cas,
Mais il suffit de les fermer pour voir à nouveau la réalité.

Ainsi va la vie pour la plupart d'être humains ne trouvant pas sa place ici.
Un jour je trouverais la mienne, à tes côtés ou loin de toi,
Tu es ma souffrance et mon espoir,
ma maladie et mon remède.
Mais décide toi avant que mon dernier masque s'efface,
Et que je me retrouve en compagnie de la solitude encore une fois.

A l'orée du jour où nous nous sommes connus,
Mes rêves et espoirs étaient brisés.
A l'orée du jour où nous nous sommes rencontrés,
Une nouvelle vie s'offrait à moi.
A l'orée du jour où nos regards se sont croisés,
J'ai compris que toute résistance était inutile.

Dans tes yeux le monde s'illumine,
un seul regard suffit pour me faire frémir.
Nos cœurs se dévoilent,
Nos âmes s'entrelacent,
Et ensembles nous déversons des rimes.

Au fond de mes pensées je t'y trouve toujours,
Au fond des tiennes parfois je me demande,
Tout ce temps est passé depuis ce jour,
J'ai passé trop longtemps à attendre.

Quand enfin tu te seras décidé,
On pourra à nouveau danser,
Peau nue contre cœur sur la main,
On pourra enfin se laisser aller, Comme de l’éteins,
Quand on nous séparera, nos morceaux pleureront,
Et tout le monde comprendra enfin, que malgré toute cette saleté,
Haine ou amour, ou tous deux ensembles,
Seront à jamais increvables.

Je t'aime, dit le poète,
Je te hais, celui qui regrette avoir écrit des vers pour sa dulcinée,
Pour ma part, je resterais à jamais une âme amère paumée loin de toi.

(Moins bien que le premier mais bon...By me^^)