| Sujet: Ryoku, Ezekiel [Terminé] Lun 26 Déc 2011 - 23:28 | |
| EZEKIEL RYOKU Dossier Médical
Identité ۞ NOM : Ryoku ۞ PRÉNOM(S) : Ezekiel ۞ SURNOM : Eze ۞ AGE : 19 ans ۞ SEXE : Masculin ۞ NATIONALITÉ : Britanique - Anglais ۞ ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuel ۞ GROUPE : Malade Dangereux Physique ۞ Taille : 1m80 ۞ Poid : 70 kg ۞ Yeux : Bleu ۞ Cheveux : Blond ۞ Peau : Clair - Blanche ۞ Particularité : aucun ۞ Description en quelques lignes :Lorsqu’on c’est que c’est un homme qui va se dresser devant vous, qui pourrait imaginer découvrir un être à la peau de lait parfaitement délicate et lisse à souhait? Une peau qui miroite le feu de lumière éclaircissant légèrement la couleur de celle-ci, la teintant même par moment et pourtant s’agençant avec son teint naturel. Sans oublier sa chevelure tout aussi claire d’un blond très pâle, presque platine et qui plus est, quelque peu rebelle, ondulant magnifiquement malgré leurs tailles courtes. Ses iris de cristal restent un attrait tout particulier de son être. Ceux-ci ajoutant un aspect froid, distant et pourtant curieux. Qui même pourrait s’attendre à se retrouver face à un homme quelque peu dangereux lorsqu’il se retrouve face à un être svelte, possédant un corps moindrement sculpter, mais suffisamment pour définir ses formes telles que les abdos et ses hanches. Caractère ۞ Qualités : Discret, Réserver, Patient ۞ Défauts : Colérique, ۞ Particularité : Son humeur peu changer rapidement, et ce, sans prévenir ۞ Description en quelques lignes : Le monde dans lequel nous vivons est parfois semé de bien des embûches qui ne sont pas toujours surmontables, ou dans le cas contraire, demande un minimum de temps. L'espoir pourtant de passé outre cela règne dans l'esprit de chacun. Pour , cela n'est nullement différent. Depuis sa tendre enfance, il est constamment persécuté par le regard des gens sur sa personne, par les commentaires à son égard et par le rejet de ceux de son âge, et ce, simplement parce que psychologiquement, il était différent. Depuis son tout jeune âge, Eze à toujours été des plus discret et réserver. Jamais il ne cherchait à déplaire où même à aller à l’encontre des règles. C’était l’enfant modèle dans un monde dépourvu d’appréciation. Même ses parents lui reprochaient d’être trop parfait, de ne jamais piquer de crise ou encore même de s’imposer un peu. Il était le genre de jeune homme à subir plutôt qu’agir et encore aujourd’hui cela semble être le cas lorsqu’on le voit. Mais derrière cette facette se trouve une tout autre personne. Tels une seconde personnalité qui se forge, un autre qui lui, passe son temps à ruminé contre ceux qui lui fait du tord, contre le monde entier incapable d’être droit, toujours à trouver la moindre petite chose dérangeante. Un autre qui planifie silencieusement des plans des plus étrange ne serait-ce que pour se venger. Même parfois, il en vient à se parler à lui-même. Un brin de folie sans doute. | |
ANALYSE SCIENTIFIQUE Only for FREAKS
Ce bloc possède une barre de scroll, alors écrivez tant que vous voulez ! Notez que cette section est principalement utilisé pour les mutants et les malades. Tout point de vu sur votre maladie et sur vos capacités qui relève de la science. ANTÉCÉDANTS (Histoire) D’aussi loin qu’on se souvienne, la famille Ryoku était une famille chrétienne parfaite. Une famille qui, devant tous, semblait des plus heureuse et sans le moindre défaut, même parfois, elle était trop parfaite. Puis vint un temps où il est temps, comme toute bonne famille, de s’agrandir. C’est donc ainsi, par le bon vouloir de ses parents, qu’il vit le jour. À la naissance le petit être pesait à peine 6 livres, tout petit, à peine une once de graisse recouvrait son petit squelette et pourtant si faible semble-t-il. Eh oui, à peine quelques heures qu’il était dans ce monde et déjà, on exposait le risque qu’il ne survive pas plus de quelques jours. Fort heureusement, contrairement à l’attente de tous, il se battit pour vivre. En à peine quelques jours, soigneusement nourri par sa mère, il put reprendre les forces qui lui manquait jusqu’à finalement montrer les signes de rémission totale, insufflant ainsi son envie de vivre. Or, toute bonne joie à une fin. Alors que lui, pauvre petit nouveau-né survivait sa mère elle, succombait de plus en plus sous les pertes de sang lors de l’accouchement. L’énergie la quittait lentement, au point bientôt de ne laisser qu’une pauvre femme sans défense. Il fût donc pris en charge par son père, le seul qui pouvait pour l’heure prendre soin de lui. Les jours devenaient des mois et les mois devenaient des années. fêtait désormais ses 4 ans lorsque sa mère succomba finalement. Et dire que depuis tout ce temps, elle avait été hospitalisée. Dans un sens, elle serait sans doute mieux dans l’au-delà, à veiller sur lui. Or, sa mort entraina tout simplement un changement radical chez son père qui était dans une crise incontrôlable instauré par cette perte. Comme tout jeune garçon de son âge, il ne comprenait nullement ce qui s’était passé, mais tout ce qui se souviendra sera sans doute le début de tous ses futurs problèmes. Un père qui toute sa vie s’était tenu très loin de l’eau de vie et de ses effets, qui avait toujours vécu une vie droite et bien remplie dans le cadre de sa religion. Priant tous les matins et les soirs, obligeant même son fils à en faire de même. Oh, naturellement on n’efface pas dans un claquement de doigts le passé, car celui-ci insistait toujours pour que son seul et unique fils soit bien vu. Or, Eze préférait de loin être à retrait. Moins il se mélangeait mieux il se portait, mais aussitôt que son père haussait le ton ne serait-ce que légèrement, l’enfant se pliait aussitôt à sa volonté. À bien y regarder, pour les autres, cela semblait naturel qu’un père discipline son fils même s’il semblait ne rien faire de mal. Or, ce que tous ignoraient c’était ce qui se produisait une fois à la maison. À peine le jeune homme sortait de la voiture de ses hauts de ses 3 pieds 5 pouces, il s’élançait vers sa chambre pour s’y enfermer. Attrapant son ourson en peluche qu’il serrait fortement entre ses petits bras, puis se dirigeant vers le placard où il s’assoyait recroquevillé sur lui-même, regardant par les rayures trouer de son paravent qui servait de porte. À peine âgé de 6 ans, il appréhendait déjà l’heure à laquelle son père allait franchir le seuil de cette pièce complètement saoul avec l’idée de faire subir à son fils les pires tortures. - Spoiler:
La porte venait subitement de s’ouvrir, laissant alors l’homme d’une quarantaine d’années entré. Le bruit de ses pas résonnait dans la pièce qui semblait complètement vide et dont l’enfant se cachait, resserrant son étreinte sur le seul objet de réconfort. Ses iris cristallins devenaient ternes et reluisants, alors que les larmes miroitaient jusqu’à glisser sur sa joue, et ce, à chaque pas qui se faisait entendre. Il n’avait que cette cachette, et s’il la trouvait… Trop tard… les pas se font de plus en plus proches et voilà que les volets s’ouvrent laissant alors la silhouette de l’homme apparaitre au grand jour. L’enfant tremblant sur le sol, n’osant nullement le regarder jusqu’à ce qu’il sente les mains de celui qui semblait être son père se poser à sa taille pour le prendre et le lever.
Le petit être tremble, fermant les yeux alors qu’on venait à l’étendre sur le lit. Oh, l’homme prenait grand soin bien que ferme, il prenait le temps de dévêtir le petit être avant de laisser ses doigts taquins glisser sur cette chair vierge et pourtant bleuie par les coups des précédents jours. Son père s’attardait sur les marques, prenant soudainement plaisir à appuyer dessus ne serait-ce que pour entendre crier de douleur avant de finalement s’attarder sur cette zone qui devrait rester complètement restreinte. Encore jeune, il n’avait pas réellement conscience de ce qui pouvait et ne pas être acceptable. Tout ce qu’il savait dans l’innocence de la jeunesse était la présence des mains de son père sur ses fesses et son entrejambe. Les larmes coulent à flot. Il avait eu peur que son père lève de nouveau la main sur lui, mais cette fois c’était doux. C’était presque un soulagement jusqu’à ce qu’il sente quelque chose pousser contre son œillet. Il ne comprenait pas, mais la douleur suffit à le faire crier alors que son père osait entrer dans cet endroit. Au point où soudainement l’enfant agité offre une gifle incontrôlée à son seul parent, laissant celui-ci complètement consterner et comme si soudainement il reprenait ses esprits, il s’était retirer laissant son fils terrorisé sur son lit, nu comme un vers.
Depuis ce jour, l’homme ne tenta rien de plus. À croire que son fils avait peut-être réussi à se faire comprendre, du moins pour cette partie, bien que malgré lui, il se faisait encore battre par moment. C’est dans ses moments là qu’on se demande pourquoi nous sommes venues au monde et pour, c’était une question qui naissait de plus en plus dans son esprit. Chaque soir, derrière cette facette d’enfant modèle, il échafaudait toute sorte de plans pour tuer son père, lui faire regretter ce qu’il lui faisait. Et pire que tout, plus les jours passaient plus s’éloignait de la réalité. Il devenait un simple observateur, et une fois dans l’ombre il entretenait des conversations à voix haute avec lui-même. Au départ, il conversait avec son ourson en peluche, mais désormais, c’était bel et bien avec lui-même, les voix changeaient selon les répliques, le timbre de voix d’un enfant soumis puis d’un autre plus froid et distant. La démence s’installait. Il s’était créé son propre univers fictif, pour agir dans l’ombre. Son lui intérieur devenait une entité à lui seul. Une entité qui, avec la guerre ne fit que s’accentuer. Il faut dire que plus la guerre s’approchait, de plus en plus son père venait le rejoindre croyant que son fils avait peur alors qu’en fait, il n’avait déjà plus de lien avec la réalité. Les bruits de feu, les bombes, tout résonnait aux oreilles d’Ezekiel qui les répétait comme si c’était un jeu. Tout cela le faisait rire plus qu’autre chose. Alors que pour son père c’était toute autre chose, après tout, la guerre signifiait aussi de grandes pertes. Une perte autant matérielle que d’un grand nombre de vies autour d’eux. Bien que son fils en avait pas nécessairement conscience, ils se retrouveraient obliger de quitter les lieux d’ici quelque jour. Taisant son malheur dans l’alcool, son père profitait des dernières heures dans sa demeure priant pour ne rien perdre de plus avant le départ. Puis vint l’inévitable. - Spoiler:
Par ses rares moments de lucidité, Ezekiel continuait de s’enfermer dans sa chambre. Avec le temps, il avait trouvé le moyen de se cacher et malgré tout, certains soirs, il n’avait nullement le temps de le faire. Alors qu’il avait ses 15 ans, voilà que son père, encore plus saoul que jamais, franchissait le seuil de la porte avec la ferme intention de faire payé, selon ses dires, l’insolence dont son fils avait fait preuve en public alors que le blondinet avait simplement évité de lui répondre par un « oui monsieur ». La colère se lisait sur son visage une colère totalement accentuée par l’alcool. Toisant son fils qui se tenait dos à lui tout en le regardant. Il s’approcha à pas ferme et sans défaillance. Ses mains venaient prendre celles du blondinet avant de le plaquer contre le mur le plus proche. Il grommelait des mots incompréhensibles pour la plupart que même Eze n’arrivait pas à les déchiffrer.
Il ressentait l’étau se resserrer sur ses poignets le maintenant en place, l’empêchant même de bouger. Le jeune adolescent serrait ses dents avec fermeté alors qu’il sentait les lèvres humides de son père effleurer son cou. Il tressaillit sur place, complètement horrifié par ce contact qui était complètement nouveau. À quoi jouait son père? Qu’avait-il en tête. Le plus jeune tenta de nouveau de se défaire de l’emprise sans réel résultat si ce n’est que d’accentuer l’étreinte de son paternel qui se retrouvait désormais contre son dos. Non seulement il le maintenait de force ainsi, mais en plus désormais il était complètement coincé entre l’être qui le terrorise depuis des années et le mur.
« Si tu bouges, tu le regretteras »
Ses paroles résonnaient dans la tête d’Eze, ses yeux se fermèrent alors taisant à jamais la moindre réplique désobligeante. Il l’incita a lever les bras jusqu’à ce que son père puisse maintenir ceux-ci à une main, pouvant alors profiter de son autre du corps quelque peu « efféminé » de son fils. Un corps qui se tendait au moindre frôlement de crainte de se faire frapper, mais non, il s’attardait à lui retirer le pantalon sans se soucier de ce que son seul et unique fils voulait. Les souvenirs de ses 6 ans revenaient à la surface, et une rage commençait à naître dans son esprit. Un cri strident s’élève. Trop tard, sans avertissement, il venait tout simplement d’insérer un doigt dans son orifice interdit, laissant le pauvre complètement figer sur place, tremblant. On aurait pu croire que celui-ci allait s’arrêter après ce petit geste et pourtant, il le retirait aussi rapidement que ce qu’il était venu. Un bruit de braguette. Ezekiel n’eut point le temps de réagir qui sentait déjà quelque chose contre ses fesses. Suppliant son père de s’arrêter, il serrait les poings. Avant d’être soudainement projeté vers le lit, où il tomba allonger. Les larmes jaillissaient sur son minois regardant l’homme s’approcher dangereusement de lui, venant reprendre entre ses mains les poignets de son fils avant de s’allonger sur lui, laissant son membre bien tendu trouver le chemin de lui-même. À peine l’embout touchait-il l’orifice, un grand coup de reins et le voilà qui s’immisçait en lui, provoquant une énorme douleur, sans oublier le cri, et ses mouvements incertains. Il espérait simplement de se libérer de l’emprise de son père. Un liquide chaud semble-t-il, brûlant cet endroit, non c’était seulement du sang. Seulement du sang? Suffisant, surtout mélanger à toute cette douleur, il avait sombré dans l’inconscience.
C’est au réveil que le paternel se rendit compte des actes qu’il avait commis. Pire, il découvrit son fils inerte sur le lit, serti de sang. Alerté, il s’était empressé d’appeler les secours. En moins de 1 h, ils se retrouvèrent tous deux à l’hôpital le plus proche. À peine arrivé que déjà on prenait soin d’Ezekiel, histoire de s’assurer des dégâts et de le soigner au mieux. Les minutes devenaient des heures pour son père qui attendait les résultats, se maudissant de ce qu’il avait fait la nuit passer. Mais se maudire de la sorte n’allait certainement pas arranger les choses. Peut-être seulement lui faire prendre conscience de son comportement, mais rien d’autre. Alors que les infirmiers s’attardaient à recouvrir le corps meurtri du plus jeune un bruit retentis fortement suivit d’un « PÈRE, ARRÊTEZ!!! ». Quelques secondes plus tard, voilà alors l’infirmier qui sortait rapidement à reculons suivi d’un plateau de métal qui devait être celui qui contenait les pansements et ciseaux. Aussitôt, la garde de l’établissement fût en alerte, bien que se fût son père le premier à entré dans la pièce constatant son fils complètement hystérique, les larmes perlant sur ses joues et dont il ne se rendait même plus compte de ses gestes. Dans sa main droite, un éclat métallique. Aussitôt on comprenait qu’il tenait une paire de ciseaux affilés. Se levant en titubant, il voulait menacer quiconque s’approchait. Il était évidant, le petit fils modèle était complètement désorienté, perdu entre la réalité et le rêve. Son regard complètement vide d’émotion si ce n’était que ses larmes qui coulaient sur son minois angélique. Il voyait l’homme s’approche. Était-ce réellement son père? Il ne semblait nullement distinguer qui était qui. Pour lui, tous était celui qui lui avait fait tout ce mal et sans crier gare il venait de se jeter de toute l’énergie qu’il avait, dans l’espoir de planter son arme dans la chair. « Plus jamais… ce n’est fini… tu me toucheras plus! »Lorsqu’enfin la sécurité arriva sur les lieux, il découvrir le jeune homme incontrôlé s’acharnant sur le corps inerte de l’infirmier qui s’était, de toute évidence, interposé entre le père et le fils. Pauvre malheureux qui avait succombé à la fureur. Ils devaient le maitriser rapidement chose qu’ils firent dans les plus brefs délais. S’assurant qu’il n’y avait le moindre risque avant de parvenir à plaquer l’être sur le lit où ils en profitèrent pour l’attacher afin de s’assurer qu’il ne puisse répliquer. « Non... non... tu me toucheras plus… Enlève tes salles pattes… », répétait-il Maintenu contre ce lit, sous le regard complètement surpris de son paternel. Il n’arrivait pas à croire que son fils venait de commettre un meurtre. Pire, il n’arrivait à croire que celui visé avait été lui. Mais voilà, il était désormais trop tard. L’irréparable était arrivé. Et son fils allait finalement devoir accepter les sentences de la cour. Constamment sous surveillance, constamment attacher soit à un lit ou à une chaise jusqu’à ce que la sentence soit évoquée. Ezekiel en perdait le goût de la vie, les seules fois où enfin il affichait un quelconque sentiment c’était lorsqu’il se croyait en train de parler à son père, affichant un sourire des plus mesquins appuyer par des paroles tranchante et menaçante. Cela en était devenu une obsession. Et encore, chaque fois où on avait osé le laisser détacher, il s’était jeté sur le premier venu, croyant que c’était son père. Il ne réalisait plus qui l’entourait, il ne voyait que son géniteur. Celui qui l’avait battu, et pire, violer. Un psychiatre exigea de le garder sous son aile pendant quelques années, assurant qu’il pourrait possiblement lui redonner un semblant de vie réel. Pendant près de 4 ans. Eze se retrouva à écouter un supposer docteur du mental, dans une région qu’il ne connaissait point, qui cherchait à le ramener à la réalité. Tout ce qu’il obtint se fut tout la haine qu’il avait contre son père, et la possibilité de reconnaitre certaines personnes qui se présentaient à lui. C’était malgré tout suffisant vers la voie de la réussite. Or, malheureusement pour Daniel, le psychiatre, il eut la mauvaise idée de faire confiance à ce jeune homme de 19 ans. Dénouant celui-ci de son étreinte de métal après s’être assuré que rien ne pourrait lui être fatal dans se bureau. Or, cela était sous-estimé Ezekiel qui trouva le moyen d’en venir à ses fins. Simple trombone pouvait devenir dans la seconde l’arme de crime parfait s’il était posé aux bons endroits, particulièrement à la jugulaire. Laissant Daniel gisant devant le bureau, il reprit soigneusement sa place. Attendant gentiment l’arrivé des forces de l’ordre. Il faut dire que les cris du psychiatre avaient sans doute attiré l’attention de la secrétaire. Conscience de rien, Eze fut alors envoyé à Mad House Kyooki. | ۞ PRÉNOM OU PSEUDO : Kiowa ۞ AGE DU JOUEUR : 24 ۞ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Saido-kun ۞ COMMENT TROUVEZ-VOUS LE FORUM ? Depuis qu'il a été refait dans son intégralité je le trouve plutôt chouette ۞ PRÉSENCE SUR LE FORUM : 9/10
Moi, Ezekiel Ryoku confirme avoir prit connaissance du règlement et en accepté toutes les clauses. Je confirme avoir prit connaissance que le forum est 18 ans et plus parce qu'il peut refermer des scènes de sexualité explicite.
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Dernière édition par Ezekiel Ryoku le Dim 3 Mar 2013 - 16:27, édité 16 fois |
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